La paradoxe du reality: une réflexion su la posture littéraire de Michel Houellebecq

Abstract

El objetivo de este artículo es proponer una figura teórica que aclare el modo en que la imagen supratextual de Houellebecq influye en la forma en que se leen sus textos. Se parte de que existe cierto solapamiento entre el personaje mediático del autor y sus distintos narradores y personajes, y se propondrá la figura de la paradoja del reality para explicar el incierto marco de lectura que implica la autoría de Houellebecq. Defendemos que su postura literaria, en tanto que generadora de horizontes de recepción, consiste en imponer la sospecha estructural de que cuanto contienen las obras de Houellebecq no son sino puestas en ficción de un yo verdadero.

The aim of this article is to propose a theoretical figure to shed some light on the way in which Houellebecq’s supratextual image influences the way in which his texts are read. We start from the premise that there is a certain overlap between author’s public image and his different narrators and characters. Thus, we will propose the figure of the reality show paradox to try to explain the uncertain reading frame that implies the authorship of Houellebecq. Our thesis is that the author’s literary position, as a generator of reception horizons in the reader, consists in imposing the structural suspicion that what Houellebecq’s works contain are nothing but the fictionalization of a true self.

L’objectif de cet article est de proposer une figure théorique servant à faire la lumière sur la manière dont l’image supratextuelle de Houellebecq influence la façon dont se lisent ses textes. Ce faisant nous partons de l’hypothèse qu’il existe un certain chevauchement entre le personnage médiatique de l’auteur et ses différents narrateurs et personnages. Ainsi, nous proposerons la figure du paradoxe du reality pour tenter d’expliquer le cadre de lecture incertain qu’implique la paternité littéraire de Houellebecq. On pense que la posture littéraire de l’auteur consiste à imposer que la suspicion de ce que contiennent les œuvres de l’autour sont une mise en fiction d’un moi véritable.