Cet article se propose d’étudier quelques-unes des interprétations du motif littéraire de la ville morte dans la poésie française et espagnole de la fin de siècle. Dans cette perspective seront analysés, en un premier temps, les interactions éventuelles entre le motif lui-même ainsi que quelques-uns des usages les plus anciens du syntagme «ville morte», et en un second temps, l’influence que le motif a pu avoir sur d’autres motifs littéraires de l’époque, dont le jardin.