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dc.contributor.authorRenouprez, Martine
dc.date.accessioned2023-04-17T11:03:34Z
dc.date.available2023-04-17T11:03:34Z
dc.date.issued2017
dc.identifier.urihttp://riull.ull.es/xmlui/handle/915/32367
dc.description.abstractLa fin du XXe siècle accuse un échec de la raison critique issue de l'esprit des Lumières: la dénontiation des idéologies a fait place à un cynisme diffus et généralisé au sein d'une société marquée par l'imposture. Nous analysons d'abord ce qui a conduit au crépuscule de la Modernité pour démontrer ensuite que la déréalisation et la dépersonnalisation progressive, inscrites dans la poésie de Danielle Collobert, sont le reflet de la schize sociétale. Face au pouvoir cynique, Sophie Podolski adopte, quant a elle, le rire fromdeur du «fou» de la tradition kunique, de Diogène à Thyl Ulenspiegeles_ES
dc.language.isofres_ES
dc.relation.ispartofseriesMonografías de Çédille, nº 7, otoño 2017;
dc.rightsAttribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 Internacional*
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/*
dc.titleLa poésie de Danielle Collobert et Sophie Podolski. Entre lucidité et folie, les ultimes soubresauts de la modernité avant son suicidees_ES
dc.typeinfo:eu-repo/semantics/articlees_ES
dc.rights.accessRightsinfo:eu-repo/semantics/openAccesses_ES
dc.type.hasVersioninfo:eu-repo/semantics/publishedVersiones_ES


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